Take Time To Think

EU – AI – ISBN is talking

–> Exigeons des applications européennes contrôlées car : « Les normes de l’Union Européenne sont les plus élevées pour garantir la sécurité de nos vies privées ». La rigueur du Canada n’est pas en reste quant à la vigilance. »

Côté USA, admettons que Google est apte à lancer le scan isbn ou le QR code efficacement et Apple fut le premier à s’intéresser à l’usage de la machine technologique adaptée à la sécurité individuelle autant qu’à la pratique de l’ordinateur y compris pour des malvoyants dès le départ.

  • L’IA nécessite balises de façon à garantir l’information cohérente y compris dans les applications.
  • Nombreux produits alimentaires distribués par nos chaines de supermarchés se devraient d’être scannées bien en amont de distribution sur un pays par une unique application européenne liée au secteur concerné.
  • Que dire des applications conviviales capables de centraliser des données mais tellement taiseuses quant à leur organigramme? La juridiction d’un état n’est pas celle d’un autre et ce, au sol comme au cloud…

Cette illustration a été réalisée avec le logiciel Pages de Apple. Une réflexion portant sur la conscience du poids des datas. Placer les limites de ces invisibles nous impose de réduire les produits et autant les applications que le hardware afin de pérenniser le fonctionnement des outils dans le temps et pour garantir la sécurité individuelle.

Témoignages de situations incohérentes très récéntes :

J’ai pu constater des labels bio étoilés qui ajoute le texte « non-européen » ce qui est illégal. J’ai aussi compris que certaines étiquettes ne pouvaient pas être scannées à la caisse et fini par observer qu’une entreprise émettrice pouvait être une récente Startup tombée en faillite quelques mois plus tôt. C’est un problème de gestion de stock et/ou de publicité mensongère compte tenu de l’étiquette juridiquement erronée.

J’ai pu constater une radio faciale à un profil médical erroné (poids, taille, résultats incohérents). Suite à un accident de trottinette électrique un urgentiste photographie avec son smartphone. Sans m’avoir ni pesé ni mesuré, un profil incohérent m’est attribué. Hors, je n’ai jamais excédé les 50kg de ma vie; mon poids semble avoir été uniformisé à l’américaine. Alors que je suis proche des 170 cm, je rétrécis de 5 centimètres. L’urgentiste semble inscrit à l’INAMI depuis 2018 seulement alors qu’Internet le lie à une activité dans une ASBL Son nom ne semble pas très européen non plus (la forme asbl augmente le problème par l’usage de bénévoles non identifiés). J’ai été indiquée ensuite vers une assistante radiologue non-européenne pour une radiographie mais sans rencontrer le radiologue dont le nom figure sur les résultats. L’un m’est transmis et mentionne un problème lié à la dent cassée suite à la chute ainsi que d’autres dents. Mon médecin traitant reçoit un autre résultat portant sur des numéros de dents différentes.

Je précise aussi que l’accès au download de la radiographie m’a permis d’avoir accès à une cinquantaine de radios de dents toutes différentes et sans aucun nom pour les identifier. A mon profil sur le site officiel, par contre, seules 4 radios sont identifiées à mon visage dont une page blanche.

J’ai pu constater que chaque fois que je dois transmettre ma carte d’identité à un service spécifique (assurance santé, dentiste, hôpital, etc) je me retrouve aujourd’hui avec moins de prénoms qu’à ma naissance. Ceci me semble lié à la multiplication des logiciels dont certains se limitent à 4 entrées de prénoms mais aussi à l’OS ou l’IOS qui permet de faire fonctionner l’application ou le logiciel ainsi que la structure du micro-logiciel.

Au final, de mon expérience numérique pratique depuis l’aube de l’Internet de l’an 2000 notamment à travers plusieurs construction des sites Internet, je constate que la prudence nécessite une normalisation de modèles autant que de la réduction des produits pour favoriser la compatibilité des mises à jour. A titre d’exemple, je portais déjà un point d’attention sur les risques liés aux champs de caractères ajuster au cas par cas. A mon opinion, et particulièrement pour le domaine administratif et les formes d’entreprises légalement constituées, il est imminent d’imposer une limite des formes et des produits à échelle mondiale. 4 formes juridiques d’entreprises se suffisent amplement. Depuis le matricule d’identification de celles-ci se téléchargent les templates incrustés depuis l’achat du pack du nom de domaine et de l’hébergement en veillant à ce que l’acronyme d’extension se rapporte exclusivement à la catégorie de l’entreprise ainsi que de leur pays juridique. La réduction des emplois inutiles est favorable sur le plan écologique (pollution invisible du flux des datas). D’autre part, cela garanti la vitesse de diffusion, l’aptitude à la mise à jour de sécurité tant pour les utilisateurs privés que pour les entreprises et les institutions. C’est en ce sens que le pictogramme « Transparency » renforce en plaçant le T comme une norme qui donne accès à l’organigramme et les informations balisant un aspect comme le style interprétable d’un CSS3.

Pour conclure, si les mauvaises langues du « court-termiste » pointent le risque de réduction de l’emploi, il est souhaitable d’y lire l’occasion de mi-temps citoyen en parité et de conscientiser chacun quant aux limites des produits permet davantage de solution innovantes, performantes, mises à jour rapidement. En ce sens, ne faut-il pas imposer la clôture d’un site Internet à une faillite d’entreprise physique pour désengorger les recherches peu pertinentes ou de les réduire à l’aspect d’un T pour indiquer in-out à la synthèse d’un argument? Dès lors, en résulte un progrès efficient possible.