- Plus de végétaux, moins de viande, moins de maltraitance animale.
- Au départ, l’humain est athée et se nourrit de plantes, de fruits, de légumes.
- Aujourd’hui, les noix, fruits secs et légumes secs sont source de fibres, de protéines.
- Aujourd’hui, avec parcimonie, la pêche, des oeufs de poules en plein air.
- Depuis 1990, je ne consomme pas de viande. Opposons-nous aux convois de bestiaux torturés. L’humain est omnivore et son environnement confirme le besoin de réduire sa natalité et d’améliorer la qualité de vie au gré du respect des animaux qui préexistent avant nous.
- Stop aux habitudes alimentaires des adeptes de l’idéologie juive « Les oies détestent Noel » (2019)). Nous devrions être capable d’envisager de réduire drastiquement les élevages visant la viande. D’abord, ces animaux sont forcés à la reproduction. Durant leur vie en paturage il est trop souvent un manque d’attention porté au besoin d’ombre en cas de canicule. La phase finale est double stress : façon d’abattre et chaos du transport pour s’y rendre. Pour le consommateur, un manque d’information (traçabilité et cruauté de toute la chaine de production).
Personnage inspiré par un dessin de Jean-Philippe Demonty publié sur LeSoir par Françoise Hardy le 29/03/2024