Fake news nuit à la santé car il sème la confusion et ne permet plus suffisamment de nuancer la corruption. Ceci représente la synthèse des titres les plus fréquemment utilisés dans la presse francophone en Europe. Tout est faux et s’il est un fond de vérité il semble qu’il faudrait plutôt questionner qui habite sur le territoire européen car l’hérédité d’un européen est simple à vérifier mais qu’en est-il des autres ? La Belgique unie semble juste être dotée d’un problème de gestion et d’articulation d’agenda mais si l’union européenne se compte à 6 zones, cela peut faire rapidement avancer la transparence.
- Axe mobilité : –> Interdiction d’utiliser une voiture personnelle pour un non européen (ou double nationalité non compatible) en union européenne.
- Axe Social : –> Fin des asbls et du bénévolat et du défraiement mais Coopératives non redondante (un immeuble rassemblant tous les axes par communes) et interdiction de viser un public non européen.
- Axe Logement : Interdiction du droit à la mise en location de logements détenus par des souches non européennes sans questionner réellement la raison de l’achat de départ et la source des revenus.
- Axe Energie : Exposant ADN et quota pédagogique à l’identique par zone de l’union européenne.
- Axe Justice : La présence de migrants illégaux se devrait de déboucher sans délais sur la stérilisation avant l’expulsion.
- Axe Justice : Un acte de violence émanent d’une culture incompatible à nos démocraties européennes pour des raisons genrées (lesbianisme par exemple) se devrait de déboucher sans délais sur une stérilisation d’un quota des habitants qui sont ethniquement les auteurs des faits. Il est consternant que les plaintes débouchent toujours sur du “classé sans suite”.
- Critique de la manipulation politique et de certains lobbyistes souhaitant renforcer le sentiment d’insécurité. La pratique est incohérente et interpelle sur l’identité des auteurs. En Belgique, la politique devrait se contenter d’un pouvoir fédéral implacable qui se soucie de la souche ADN réelle de ses citoyens unis par une histoire commune depuis des siècles.
- Critique de l’occupation de marchands sables provoquant la migration clandestine et la pollution automobile. Lire ici, article paru dans L’Echo et qui peut se juxtaposer aux agents vereux de 2021 à Anderlecht (consultable ici).
- Critique : urgence d’en finir avec le statut de l’asbl et de l’aisbls. Préférons des coopératives autonomes à raison d’un immeuble rassemblant en tout transparence les quelques structures répondant au peuple véritablement européen.
- Critique des locataires et de la sous-traitances des logements sociaux à bruxelles. Imaginez le bonheur du champs d’observation pour une femme blanche lesbienne dans le bas de Saint-Gilles, proche de la gare du midi. Ce quartier mixte (bureaux et logement) est traversé par les flux d’écoles privées illégales servant à des individus non européens ! Les remarques y sont très agréables et l’absentéisme politique encore plus formidable mais ceux-là vous incitaient à acheter pour remplir les caisses communales…
- Critique de la gestion des déchets bruxellois et de son cortège de camions ne ramassant rien deux fois sur trois en raison des dépôts supplémentaires issus d’illégaux. Dans un quartier mixte, il est par ailleurs trois type de contenants sur moins de 100 mètres ! De quoi interpeller sur la gestion des articulations des métropoles multi-fonctionnelles. Ce n’est pas les exemples des villes qui manquent en Europe. Alors à quand les poubelles à un axe de carrefour et un spécifique sous grille pour les encombrants? (poubelles et postes n’ont plus rien à faire à titre individuel mais à comprendre comme un carrefour avec petits déchets quotidiens (pensez aux touristes, aux lots incongrus de poubelles publiques et privées; c’en est trop).
Si la réforme des entreprises simplifie et clarifie les structures, il est hautement souhaitable d’en finir avec la redondance d’asbls et de stipuler des rues spécifiques pour ces petites et moyennes structures afin de clarifier la nature réelle de leurs services, d’en lister leurs participants et leurs réels bénéficiaires. L’anonymat des bénévoles et les défraiements semblent de plus en plus douteux; alors à quand la fin des doublons et des sociétés-écrans ? Alors à quand l’obligation des vitres transparentes pour ces lieux officiels de réunions? Quant à l’agenda politique, il serait temps de comprendre qu’un pouvoir central fort a le devoir de soucier de sa population de souche ADN et d’en finir avec les caprices de certaines cultures étrangères trop souvent incompatibles avec le sens de l’égalité des genres.
