La démocratie est l’essence européenne apparue 5 siècles avant J-C et ce, sans aucune religion. Elle vise la cohérence dans l’organisation de son peuple sur une zone géographique, la Cité. La culture européenne raconte donc l’histoire des peuples unis par un même parcours rythmique évoluant dans le souci de l’amélioration de cette démocratie; un “work in progress“. Aujourd’hui, il est aisé de comprendre que les cultures non apparentées ne peuvent s’acclimater sur une même zone géographique sans porter atteinte à la liberté d’un peuple déjà existant. L’histoire de nos ADN raconte la chaine causale de tous les individus, c’est à dire des siècles de filiation des générations qui nous précédant avec ses croyances et ses coutumes y compris alimentaires. Le mathématicien Einstein urgeait lui même de l’importance d’inciter les peuples déjà trop surpeuplés de réduire au plus vite leurs natalités dans leurs États respectifs pour ne pas mettre en péril la planète. Nos États se doivent de se souvenir de la notion de frontière et de l’importance de l’ordre. En Asie, la Chine s’est attachée à imposer la loi “Zéro ou 1 enfant maximum par femme” et aujourd’hui elle pratique la sinisation sur son sol dans l’objectif de la protection de sa culture pour son peuple de souche. La lutte contre la corruption devrait permettre que les délits reconnus puissent aboutir sur la stérilisation humaine immédiate pour éviter la reconduction du mimétisme implanté dans nos ADN. Au sein de l’union européenne, il est souhaitable que les sanctions puissent aboutir unanimement sur les cas de figures observés. L’ordre augmente si la transparence des principes est clarifié. A côté, compte tenu du cycle naturel de la Terre, nous devrions tous souhaiter l’incinération de tous les défunts. Les risques de déploiement des virus est notable et lié au permafrost des glaciers qui fondent comme de l’évaporation proche des volcans actifs. Un virus ne s’éradique que par le feu. Compte tenu que les incendies de foret sont dans 70% des cas volontaires, nous devrions être en mesure de contraindre les États de veiller à la conservation de la photosynthèse de nos forets. Trop souvent elles sont déboisés pour servir à l’élevage et l’agriculture dès lors, il est manifeste que la loi “Zéro ou un enfant maximum par femme” puisse devoir s’implanter pour les peuples.
- Plus les grandes villes sont traversées de touristes et plus semble s’installer l’amalgame dans les manifestations. La Belgique compte déjà son lot de trois générations de sacrifices des femmes pour renforcer le progrès sociétal (le droit de vote, la levée du tabou sur le divorce, l’IVG jusqu’à terme, l’intérim, l’amélioration des trains pour les navetteurs employés, etc). Entre avantages et lot d’inconvénients, la question de la maturation de la parentalité nous indique que 2 ans sont nécessaires pour appréhender un être humain que l’on soit seule ou en couple (suivant un minimum de trois années de concubinage). L’IGV devrait s’affirmer dans la loi de chaque nation “as a clause for all of us” et ce, jusqu’au jour de la naissance. Seul le CRI indique l’aspect humain. La période qui précède correspond à la vie d’une sorte de kyste vivant au crochet de la mère qui en porte le poids.
- En Europe, les lieux publics sont aussi parfois une occasion pour certains de se rapprocher des blancs européens notamment dans des manifestations. Les mains baladeuses de certains non européens confirment un problème de possession récidiviste en terme intergénérationnel sans doute en raison de mimétisme de certaines cultures. Combien avons-nous déjà compté de peaux pâles persécutées en raison d’une allure apollinienne ou en raison de cheveux blonds qu’il s’agisse d’homosexuels ou d’hétérosexuels, d’ailleurs? Ce racisme anti-blanc semble indiquer un manque de respect profond face au besoin de 8 grands parents blonds pour conserver une chevelure blonde, par exemple. Il est possible de questionner le sens de l’amitié dans les différentes cultures et d’y comprendre jusqu’à l’absence de celle-ci chez certains.
- Tentons de creuser la dimension du problème de la possession dans l’ADN qui se manifeste à travers le vol, le viol, la migration illégale ou l’incrustation invasive.
- Si l’ADN d’un individu est le résultat de son passé précédant son existence sur de nombreuses générations (des siècles) et qui lui donne “sa forme” et “ses aptitudes” liés à la dextérité d’abord puis sa couleur, peut-il accepter son état de cause à effet (karmique) et cesser de reproduire par le mimétisme les erreurs de son passé? Questionner son ethnie, le nombre de celle-ci sur la planète, la dimension de l’étendue de sa smala et sa réelle implication en terme d’empreinte énergétique sur la planète ?
- Nous pouvons exiger l’égalité des genres mais jamais nous ne serons égaux puisque nous sommes dans la forme et la pensée ceux qui nous ont précédé et ont au cours des siècles et donc avec son questionnement doté d’une maturité (ou pas) de la descendance d’un enfant.
- Si la possession trouve sa source dans le sexisme renforcé par l’éducation et son degré d’analyse du genre et souvent encore diffusé dans certaines cultures plus que d’autres, cela impacte nos villes constituées historiquement d’un peuple déjà habitant. Les incivilités des déracinés (cultures inapparentées) sont d’illustre exemples qui confirme qu’il n’est pas à tolérer de symptômes non compatibles.
- En Europe depuis les années 70′, le catholicisme est une notion qui explique le passé avec légèreté. N’est-il pas temps d’éradiquer le mariage humain pour affirmer que la vie n’est pas systématiquement liée à la vision d’un couple? Puis, si cela le devient à un moment, n’est-ce pas l’occasion de viser la confiance mutuelle comme un défi interpersonnel exclusivement?
- Ci après, je rappelle un article paru dans le journal Le Monde le 28/10/2019 et complète par un passage de la traduction éditée chez Gallimard sous ISBN : 2-07-037234-0 toujours disponible ici.
- Pour aller plus loin, un autre article utile paru aussi dans le journal Le Monde en 2008 consultable ici.
