Ceci n'est pas un poisson, ceci est un texte réaliste tentant de nuancer l'origine des premiers mouvements féministes et les reprises de l'effet de mondialisation trop souvent empreinte d'amnésie. Le sexisme a toujours tué si souvent silencieusement. La surpopulation humaine mondiale établit la preuve vivante de ce virus à éradiquer. Dès lors, tendre vers "un ou zéro enfant par femme maximum" est un mécanisme adéquat pour éliminer la corruption et ses violences. Pouvoir exister est conditionné par l'usage des ressources avec parcimonie et favorisant l'implantation d'outils automatiques dans de très nombreux secteurs. Dans les années 70, cette vision était déjà remarquée par Valerie Solanas au temps de la Factory d'Andy Warhol à New York que dans la densification urbaine s'observant à San Francisco. A l'origine, les humains confirmaient la filiation matriarcale et compte un grand nombre d'impératrices. La corruption du peuple avide se déployant a nécessité de lutter pour obtenir le droit de vote des femmes puis l'égalité salariale des deux genres à compétences égales. Aujourd'hui, il faut pouvoir reconnaitre que les croyances et ingérences de certains pays provoquent des séismes à l'heure de la mondialisation. Chaque pays se doit d'observer sa géographie avec ses risques mais aussi être capable d'ajuster notamment via la stérilisation et l'euthanasie.