En 1985, un constat : le lait nous n’en consommons pas tant ! Aujourd’hui, encourageons les supermarchés à se lier à l’amélioration des surfaces cultivables pour une réponse en cantines de proximité (hors du marché boursier mondial) via logistique d’un marché financier de chaque pays membre de l’union européenne. Plus de liberté c’est ainsi refuser les aides (les aides restant des crédits contraignants) et penser la structure de la gestion facilitée.
- Remplacer l’allocation familiale par le repas pour le premier enfant (plus de maturité sur la réalité de l’ère automatique et des problèmes de déviance liée aux surplus démographiques)
- Remplacer l’indexation des salaires par la cantine pour les employés d’entreprises de 100 ETP minimum.
- Favoriser 1 gestion des surfaces cultivables par réduction d’outils et agenda des saisons
- Répertorier les récoltes en poids et les équivalents vers cantines et vers autres packagings pour supermarchés automatisés.
- Réduire l’élevage et imposer les sorties et ombres pour les vaches. Préférer cochons et poules en air libre nourris par les épluchures des cantines. Imposer le bien-être animal et interdire les pratiques des préhistoriques.
- Favoriser 1 gestion du pays en liant la distribution des cantines avec produits cultivés à la périphérie des métropoles via un supermarché notoire par pays membre de l’union européenne. (Colruyt en Belgique).
- Refuser les importations de viandes issues de pays lointains (la vache folle et grippe aviaire est un problème).
